Patrizia Angela Casubolo : La femme derrière Cochic !

8 Décembre 2020

SÉRIE « HISTOIRES D’ENTREPRENEURS »

À première vue, avec son immense sourire et sa silhouette élancée, vous n’auriez pas deviné que cette femme est une entrepreneure intrépide. Eh bien, je vous le dis, et vous feriez mieux de me croire. Entre sa forte volonté et sa ceinture bleue de karaté, il n’y a pas grand-chose qui l’empêche d’atteindre ses buts !

C’est que Patrizia est une innovatrice. Il ne se passe pas une journée sans qu’elle ne se penche sur la prochaine idée prête à être produite ou brevetée.

Son terrain de jeu ? Vous et ce que vous portez !

C’est qu’au fil des années, Patrizia a développé l’art de transformer des accessoires mode de tous les jours, en articles qui, non seulement se distinguent de par leur côté chic, confortable et l’ingéniosité de leur design, mais qui font également disparaître du même coup vos inconforts vestimentaires ! Une vraie magicienne.

Curieux d’en savoir plus ?

Un héritage de résilience

Comme vous l’aurez deviné, ce goût prononcé de transformer les choses n’est pas né d’hier.

D’origine italienne et péruvienne, depuis toute petite, dans son pays natal l’Italie, Patrizia laissait déjà transparaître sa grande capacité de faire les choses autrement, d’analyser pour voir et comprendre ce qui pourrait être mieux fait, plus pratique, plus beau. Faire sentir mieux.

Patrizia aime à dire que ce petit côté avant-gardiste et fonceur vient de sa grand-mère maternelle, une autochtone inca, une femme forte et très indépendante, qui a quitté son village à l’âge de 20 ans, bébé de deux ans au dos, pour se créer une nouvelle vie à Huancayo, la 2e plus grande ville au Pérou après Lima. Bien qu’elle ne parlât alors que la langue de son village, le Quechua, elle était bien déterminée à se bâtir une nouvelle vie pour elle et sa fille (la maman de Patrizia), en faisant la seule chose qu’elle savait faire à l’époque, cuisiner. « Un courage, une force incroyable, une entrepreneure qui partait de rien, ma grand-mère », me confie Patrizia. Une partie de son histoire qui l’a toujours inspirée.

« J’ai connu des endroits où il n’y avait pas de plancher et pas de toit, et donc oui, j’apprécie tout particulièrement la force et le courage des femmes. Tu peux tomber mille fois dans la vie, mais ce qui est important c’est de savoir te relever. Tu ne peux pas t’attacher au matériel. Tu dois pouvoir aller chercher la joie à l’intérieur de toi-même… et quand tu as quelque chose de beau, tu as alors le plaisir de le partager. C’est ce qui fait que je n’ai jamais eu peur d’entreprendre, de perdre, pour ensuite me relever et recommencer. » m’explique-t-elle.

Elle me confie ensuite qu’elle n’a pas décidé comme tel d’être entrepreneur. C’était simplement par plaisir qu’elle a commencé à transformer, à entreprendre. Au départ, elle voulait tout simplement être Maman…

Où tout a commencé

Quand je lui ai demandé quand son plaisir de créer a abouti pour la première fois en petite entreprise, elle me raconte cette fois, où, à l’âge de 17 ans, elle a imaginé et fait confectionner par une artisane locale du Pérou, des chandails en alpaca au design totalement différent de ce qui était offert à ce moment-là aux touristes. Au départ, c’était encore une fois simplement pour se faire plaisir et offrir à quelques amis et membres de la famille, mais au vu de l’intérêt pour ceux-ci, elle a fini par en placer quelques‘ un dans une boutique en Italie. Ce fut pour elle une belle aventure dont elle était fière et amusée, sans plus.

Puis, quelques années plus tard, à 20 ans, elle s’inscrit au programme d’économie et de commerce de l’Université de Bergame en Italie et trouve un stage dans une manufacture de boutons.

« La vie est quand même bien drôle, car quand j’étais à l’université en commerce en Italie, mon stage a été dans une manufacture de boutons ! J’avais comme responsabilité de faire une analyse de profitabilité, ce qi m’a amené à connaître en détail toutes leurs étapes de production », me raconte-t-elle.

Et comme Patrizia se donne à fond dans tout ce qu’elle fait, à force de travailler et d’étudier d’aussi près les boutons sous toutes ses formes et facettes commerciales, elle s’est découvert une réelle passion pour eux. « J’ai en acheté tellement ! » me dit-elle en riant, « avec, je m’amusais à transformer le look plutôt discret des pièces de vêtement que je possédais, en accessoires modes stylés et tout à fait uniques. »

Par son stage au sein du département R&D de cette manufacture, on peut dire sans se tromper que Patrizia nageait dans le bonheur, ou plutôt, dans les boutons ! Elle était cependant loin de se douter que cette expérience de travail, ce petit bout de son histoire, allait jouer un rôle primordial dans son cheminement des années plus tard.

… beaucoup plus tard au fait, car à la suite de ses études en Italie, elle est ensuite partie étudier au Texas aux États-Unis, puis au Canada pour compléter son MBA à l’université de Laval…

Pas de faux hasards

On est maintenant en 1995 et Patrizia, fraîchement graduée de l’Université de Laval, a tôt fait de se dénicher un poste au sein du Gouvernement du Québec à titre de Conseillère en affaires internationale. Ce poste l’amenait à voyager beaucoup et donc elle se retrouvait souvent entourée d’hommes d’affaires cravatés avec qui elle avait l’occasion de discuter de tout et de rien.

En toute camaraderie, ils aimaient souvent à se plaindre, à l’effet que les femmes jouissaient de beaucoup plus d’options qu’eux pour augmenter leur confort au quotidien, tant côté vestimentaire que du côté des agréments dans les hôtels. « C’est simple, dit un jour l’un d’entre eux, il suffirait de nous donner un peu plus de confort au niveau de notre col de chemise pour nous rendre heureux ! »

Surprise par ce commentaire, elle s’est par la suite mise à porter un peu plus d’attention à cette problématique et a vite fait de constater qu’il s’agissait bel et bien d’un réel problème, autant pour les hommes d’affaires, qui, avec la nervosité se sentaient plus étroits au niveau du col, que ceux qui, par nature, avaient un cou plus large. Elle se dit alors qu’il devait bien y avoir un moyen d’élargir ce col avec un élastique ou une solution du genre… mais sans plus.

Puis, un jour, son père, qui ressentait ce même inconfort au niveau du col, lui posa un élastique et un bouton dans la main, et lui dit « Tiens, il y a sûrement quelque chose à faire avec ça ! ». … Oui, se dit-elle alors… un jour peut-être… et elle rangea aussitôt le tout dans un tiroir, sans se pencher outre mesure sur la question comme telle…

Le jour du bouton

Ce n’est que des années plus tard, enceinte de son premier enfant que Patrizia ressorti du tiroir le fameux bouton et le petit bout d’élastique que son père lui avait remis jadis pour commencer à réfléchir sur une solution pour régler une fois pour toutes son problème d’inconfort. C’est ce jour-là, qu’elle a réellement commencé à réfléchir sur la problématique.

Il faut dire qu’elle trouvait l’idée d’utiliser un élastique assez ingénieux. Aussi, en réalité, il n’y avait pas que les hommes qui souhaitaient bénéficier d’un « bouton magique ». Les hôtesses de l’air qu’elles côtoyaient aussi. Pour elles, ce n’était pas le col de chemise qui avait besoin un peu d’expansion, mais plutôt leur tour de taille qui prenait du volume pendant les vols. « Moi-même j’avais ce besoin pendant mes déplacements et pendant mes mois de grossesse », me dit-elle.

… et en même temps, plus elle réfléchissait à comment commercialiser l’idée, plus elle voyait les défis. Comment s’assurer que la solution soit durable ? Que ce soit juste la bonne taille et la bonne élasticité pour convenir à tous les tours de cou et qu’en même temps, ça demeure ultra confortable ? Que ce soit résistant à l’épreuve du temps ? Et ce, tout en étant un article de mode chic et tendance que tous pourront et voudront porter avec fierté ?

Convaincue qu’il y avait un réel besoin, elle a soumis avec succès son projet de développement d’un « bouton magique » au programme de SAJE Montréal. Ce fut le début d’une longue série de prototypes qui aboutissent au dépôt d’un brevet le 13 septembre 2011.

C’est également en 2011 qu’elle signa son premier contrat de vente pour son « bouton magique », bouton qu’elle rebaptisera par la suite, le bouton extenseur « COCHIC » … Ceci marqua le début officiel de COCHIC, suivi de peu par le lancement de la collection « Lady COCHIC » pour les boutons extenseurs pour elle.

Vous aurez deviné que Patrizia n’allait pas s’arrêter là. Toujours dans un esprit de développement continuel, elle passa les prochaines années à perfectionner ses produits et les faire tester en Italie pour confirmer leur endurance, résistance à l’extension, ainsi que l’usure au port et au lavage, entre autres tests.

Elle a même fait appel aux agents du Service de police de la ville de Montréal (SPVM) pour tester son « bouton extenseur » COCHIC, les mettant au défi de tout mettre en œuvre pour les déloger de leur emplacement et les faire tomber, en agitant vigoureusement de tout bord et de tout côté leur chemise, et ce, à répétition… sans succès.

Ce n’est qu’à la suite de nombreux tests physiques et laboratoires en Europe et ici, que Patrizia sentie qu’elle avait enfin trouvé une solution durable et confortable au col de chemise trop serré, au tour de taille qui a besoin plus d’aisance par moments et aux vestons et chemisiers des femmes qui ont besoin d’un peu plus d’espace au niveau du buste. Mission accomplie !

 

Certains des nombreux modèles de boutons extenseurs brevetés COCHIC qui assurent confort et distinction et qui ont autant d’applications que votre imagination
Certains des nombreux modèles de boutons extenseurs brevetés COCHIC qui assurent confort et distinction et qui ont autant d’applications que votre imagination

De boutons à accessoires mode

Vous aurez deviné, la machine à solutions qu’est Patrizia n’allait pas s’arrêter là. Loin de là même !

De boutons extenseurs COCHIC et LADY COCHIC, elle a tôt fait de se pencher sur d’autres problématiques, comme par exemple cette cravate qui ne veut tout simplement pas rester droite et bien à sa place.  Et avec sa collection « Lady Cochic » de foulards en soie colorés, elle nous fait passer d’une tenue quelconque à une des plus remarquables en une fraction de seconde.

 

Cravates COCHIC dont le design breveté assure une tenue droite et centrée
Cravates COCHIC dont le design breveté assure une tenue droite et centrée

 

 

Foulards en soie Lady Cochic dont le foulard « Crépuscule d’été, un coup de cœur de leur ambassadrice Me Sophie Mongeon.
Foulards en soie Lady Cochic dont le foulard « Crépuscule d’été, un coup de cœur de leur ambassadrice Me Sophie Mongeon.

 

 

Ensemble de bretelles, boutons de manchette et nœud papillon tout à fait COCHIC !
Ensemble de bretelles, boutons de manchette et nœud papillon tout à fait COCHIC !

D’accessoires mode à accessoires santé

Avec la pandémie que nous vivons, ce n’étaient pas les défis qu’il ne manquait ni les occasions d’offrir de nouveaux produits. Comme bien des manufacturiers dans le monde de la mode, elle s’est donc mise à confectionner des masques en tissus réutilisables.

Mais pensez-vous sérieusement qu’elle allait se contenter d’offrir des masques en tissus comme tout le monde ? Évidemment que non !

Encore une fois, après plusieurs prototypes et de nombreux tests dans des laboratoires en Italie, Patrizia et son équipe sont extrêmement fiers de présenter des masques en tissus antibactériens aux propriétés tout à fait uniques.

Les masques « Stay Healthy » de COCHIC dépassent de loin les exigences d’efficacité de filtration bactérienne, de résistance aux éclaboussures et de respirabilité demandées pour les masques en tissus communément retrouvés sur le marché. Tant bien qu’ils pourraient être utilisés au niveau médical ! Les derniers tests pour obtenir cette accréditation sont en cours.

Ce qui est d’autant plus épatant est que ces propriétés sont durables tout au long de la vie des masques, et ce même après avoir subi des lavages à une eau à plus de 40 degrés.

Résultats des tests de filtrage effectuées sur les masques "Stay Healthy" de Cochic : des résultats plus qu'atteints !
Résultats des tests de filtrage effectuées sur les masques « Stay Healthy » de Cochic : des résultats plus qu’atteints !

Faire sa marque

Par le biais de ces articles mode ingénieux, Patrizia a habilement su faire, une innovation à la fois, sa place dans le marché du vêtement.

Sa mission, « que tous les professionnels puissent expérimenter la joie du confort et du chic » et maintenant, en toute sécurité, a été bien comprise, et a attiré l’intérêt tout particulier de Me Sophie Mongeon et Monsieur Gilbert Delorme qui se sont tous deux joints à la famille COCHIC à titre d’ambassadeurs

 

Me Sophie Mongeon, Présidente du réseau 1-855-Maîtres et Desroches Mongeon Avocats, est une femme de tête et de cœur qui travaille sans relâche pour offrir la meilleure défense juridique aux victimes d’accidents de voiture et de travail. Elle est également activement impliquée dans de nombreux groupes de défense de victimes, en plus d’être une conférencière très recherchée et commentatrice pour des diffuseurs locaux tels qu’ICI RDI et 91.9 Sports.

 

 

Gilbert Delorme est quant à lui un entrepreneur chevronné et une figure sportive bien connue des amateurs de hockey québécois et américain. Il a été notre défenseur du tricolore #27 et a également joué pour les Nordiques de Québec, les Blues de St-Louis, les Red Wings de Detroit et les Penguin de Pittsburgh. M. Delorme est de plus un panéliste régulier à « L’Antichambre » et commentateur à la chaîne radio 91.9 Sports.

COCHIC aujourd’hui

Aujourd’hui, COCHIC dispose d’une force de production qui s’étend sur deux continents (ici à Montréal, et en Europe) et compte parmi les membres de sa grande famille, des ambassadeurs extraordinaires, tout aussi COCHIC qu’elle.

De nombreuses entreprises qui ont à coeur la santé et le bien-être de leurs employés et clients ont déjà adopté le port des masques COCHIC dans leur milieu de travail et sur le plancher.

De plus, la collection « Stay Healthy » qui comprend les masques, nœuds papillon et foulards de poche, est maintenant disponible dans tous les Moores du Canada. Une grande fierté pour son équipe et elle !

Les accessoires "Stay Healthy" en tissus antibactériens disponibles dans tous les Moores du Canada.
Les accessoires « Stay Healthy » en tissus antibactériens disponibles dans tous les Moores du Canada.

 

Ce n’est cependant que le début de la concrétisation de ses projets d’entreprise. On n’a encore rien vu, c’est certain !

Déjà, elle prépare la mise en marché d’une nouvelle génération de ligne de vêtements et d’accessoires qu’elle a baptisé « C2 », disponibles bientôt dans les grandes surfaces.

Une chose est certaine, c’est que Cochic sera toujours, comme ses « boutons magiques », en extension, en continuation, en amélioration. C’est d’ailleurs pour cela que Patrizia vénère le « C » de Cochic, qui est symbolique de l’extension du col et de l’expansion en général… l’évolution continuelle de tous leurs produits et de nous-mêmes.

« Quand vous achetez un produit Cochic, vous achetez la passion », me dit-elle enfin. « Je déteste les limites. Pour moi il n’y a pas de limites. Je dirais même que je suis allergique aux limites, comme ma grand-mère inca l’était. C’est simple, je vais là où la passion me mène, après ça on s’amuse. Et ça pour l’instant, ça s’exprime au niveau de la mode, et ça touche toutes les directions, des choix de cœur et d’instinct au niveau de la protection de l’environnement et de la santé. »

Elle poursuit, « ma grand-mère vient tout juste de fêter ses 100 ans. Elle ne s’est jamais dictée de limites. Malgré tout ce qu’elle a passé à travers, elle est toujours demeurée positive, joyeuse et fonceuse. Elle est mon héros ! … et moi quand je regarde l’histoire de Cochic, c’est un vrai miracle. C’est né de « no-where » autre que la passion et le plaisir. Je me sens vraiment chanceuse. »

Daymond John a dit “Do nothing that you are not absolutely obsessed with and would do for free”. Patrizia aime plutôt dire “Do nothing that you are not passionate about and would do for free”. La passion c’est définitivement une valeur importante pour elle, une valeur que chacun des membres de l’équipe partage.

Elle est d’ailleurs toujours prête à ouvrir la porte à tous ceux qui voudraient faire un stage, contribuer au succès de COCHIC en y apportant leur passion. C’est comme ça qu’elle découvre les vrais passionnés du métier… Et quand elle les découvre, elle les retient en leur offrant le rôle rêvé.  Avis aux intéressés ! 😉

Pourquoi rejoindre TEC ?

Parce que lorsque vous êtes à la tête d’une entreprise qui évolue rapidement, avec toujours plusieurs projets en cours, c’est formidable et nécessaire de pouvoir obtenir des points de vue différents pour vous aider à prendre les meilleures décisions possibles, rapidement.

« Il y a tellement de choses à faire. Je veux faire tellement. J’ai besoin de réfléchir vite, d’agir vite. Je dois prendre soin de mon personnel et de mon entreprise tout en prenant soin de moi. Ça fait parfois beaucoup. », me confie Patrizia.

« Avec ma merveilleuse équipe qui ne cesse de grandir, deux nouveaux supers ambassadeurs COCHIC, je veux être à mon meilleur. Ils comptent sur moi. Je compte sur eux. Nous sommes une famille. C’est particulièrement important pour moi. C’est peut-être dû à mes racines italiennes », a-t-elle ajouté.

Vraie. Passionnée. Innovante. Audacieuse. Résiliente. Dans tous les sens, Patrizia est très COCHIC.

Je la crois sans l’ombre d’un doute lorsqu’elle me souffle que nous n’avons encore rien vu… et j’ai très hâte de découvrir ce qu’elle cache encore sous sa manche !

Vous aimeriez en savoir plus sur COCHIC ?

Je vous invite à visiter leur site web ainsi que leur page Facebook, et bien sûr communiquer directement avec Patrizia et son équipe à  info@cochic.com

Vous aimeriez en savoir plus sur l’auteur, son Groupe exécutif privé et les options d’accompagnement ?

Contactez Suzie Beaudoin, Coach d’affaires certifiée et Présidente de groupes exécutifs privés TEC Canada à info@suzieb.webwp.dev et visitez sa page web, sa page Facebook et son compte Instagram[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

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